Archive for février 2013

Mazes - Ores & Minerals

2013
FatCat
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Alléluia ! Comme ce disque à rendu ma journée un peu lumineuse, tandis que dehors, il merdasse de la neige fondue et que mon chat m'a ramené un pigeon mort, il en à foutu partout sur mon perron. Tout ça pour dire que j'ai vraiment apprécié la pop de Mazes, Tantôt kraut, tantôt prog, jamais chiante. Un vrai plaisir qui se passe de mots, c'est parfois mieux ainsi.







Pays/territoire : Royaume-Uni
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Noisia - Devil May Cry OST

Blood and guts !
2013
Division Recordings
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Dans ce cinquième opus de la série déjà bien connue de DmC, vous incarnez Dante dans sa jeunesse, vous  êtes un jeune branleur arrogant au physique parfait qui passe son temps à se battre, à se torpiller la gueule et  à baiser. Quand on est fils d'un démon et d'un ange (un Néphilim), on à pas une vie normal. Avec Dante, vous voilà partis dans une baston général contre une organisation démoniaque qui prend  petit  à petit le contrôle de la planète en asservissant la population contre son grée. Dans votre lutte, vous serez aidez par Kat, jeune voyante au physique avantageux et par Vergil, votre frère  jumeau qui lui  est la tête d'un réseaux de résistance. Le jeux est superbe, les graphismes sont très détaillés, la caméra très fluide. Le fun est au rendez vous, avec une panoplie d'armes démoniaques et angéliques qui feront de vous une  machine à hacher du démon. C'est un monde hyper violent, ou chaque map cauchemardesque est faite pour vous faire perdre vos repères, au chaque élément du décors est peut être un piège  mortel.
Soutenu par une bande son d’excellente qualité, composé  par Noisia (souvenez vous, le dernier album de Korn). Les ambiance du disque colle parfaitement au jeux, jamais heureux, chaque morceaux est angoissant à souhait, limite glauque, et contribuent à renforcer ce sentiment de malaise qui n'aura de cesse de vous étreindre tout le long du jeu.
Pour les puristes seulement, ou bien les amateurs de Dubstep un peu bizarre, comme moi.


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Darkstar - News From Nowhere

2013
Warp Records
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Il fait beau aujourd'hui, c'est rare, il y a comme un avant-goût de printemps. Histoire de terminer ce week-end sur une note douce, je ne saurais que vous recommander l'écoute de cet album de Darkstar.
News From Nowhere .
Au-delà de la pochette colorée, superbe, les dix chansons qui composent le disque sonnent comme autant d'invitations au calme et à la relaxation. Entre Electronica et Pop, flirtant avec Radiohead (A Day's Pay For A Day's Work), parfois, empruntant des sentiers sinueux, désireux de perdre l'auditeur pour mieux le retrouver ensuite. Ces quelques plages de claviers, de piano, ces beats électro, et ce chant tout en retenue sont un vrai bol d'air frais.

La bande son d'un rêve brumeux au réveil, bref, j'ai adoré, et je crois ne pas être le seul :

'Album of The Month' - Rough Trade
"A Mercury Prize nomination could well be on the cards." - Metro
highly emotive, harmonically sound trip through digitized music that moves to a genuine human heartbeat” - SPIN
"Warped psychedlic pop" **** - The Times
achingly pretty warmth” - FADER
"like being pushed off a skyscraper and discovering wings…altogether beyond words" -The Quietus
...elegant and progressive inclinations are the template for Darkstar's ability to strike a balance between man and machine" 4* - Mojo
"Instead of straddling electronica's void, Darkstar have doubled down on the profound. It suits them well." - Drowned In Sound
"Darkstar are changing. Working on fresh material, the band have thrown themselves open to new ideas, new possibilities." – Clash





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Foals - Holy Fire

2013
Warner Music UK
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Hier soir, j'étais dehors, vers 22h30, avec ma paire de jumelles, pour essayer d’apercevoir le passage de l'astéroïde qui allait frôler la terre à 27,000 km d'altitude, à une vitesse de 7,2 kilomètre par seconde. Peine perdu, le corps céleste étranger est passer sans se faire voir, un peu décontenancer, je suis rentrer après avoir fumer une clope. Rien à voir avec le sujet qui nous intéresse, le dernier album de Foals,  mais que voulez vous, j'aime racontez ma vie. Ha les Foals donc, je n'ai pas écouter leurs précédent albums, je part de rien mais j'en entend  parler partout depuis quelques jours. Et par partout, j'entend, partout sur internet, sur les sites musicaux que j'ai l'habitude de lire entre une tartine de boudin froid à une heure du matin et un thé à la menthe. Agréablement surpris, d'abord, par ce prélude, avec sa longue monté en puissance, ces guitares saturé en sourdine derrière le thème principale, ces voix hurlés, et ce rythme super efficace, ce premier morceaux tout en retenue ma charmé, moi qui aime ce genre d'intro. C'est avec un plaisir non feint que je découvre Inhaler  premier véritable morceaux et single de l'album. Je suis ravi par ce que j'entend, la basse  puissante me vrille les oreilles tandis j'headbang comme un débile devant  mon écran d'ordinateur. Je suis pris d'un léger doute quand même, quand arrive My Number, le  morceaux ressemble pas mal à celui d'avant,mais vite rassuré, je me prend  à vouloir mettre cette chanson dans une de mes playlists "dansante", je suis sur qu'elle surprendrais pas mal.
Bad Habit, chanson légèrement triste, qui en rappellera bien d'autres, je suis légèrement déçu mais pas trop, on est même pas encore à la moitié du disque après tout.
Sur Everytime, je m'ennuie un peu, et je commence à tiqué, même si Late Night sonne comme une fin de party réussit, quand on rentre chez soit avec une légère ivresse, je m'étonne un peu de la monotonie qui s'installe sur l'album, j'aimerais qu'on me surprenne, qu'on ne me serve pas que du U2 (la mauvaise période) réchauffé. Alors oui, il y à ce super rythme disco/funk vers  4'00'' mais cela ne suffit pas à sauver la chanson, qui traîne de façon mollassonne jusqu’à la fin.
Out Of The Wood ? La je commence franchement à un peu me faire chier, quand même.

Interlude: En général, j'arrive à bien cerner  un album à la première écoute, quand c'est vraiment mauvais, je laisse tomber, et quand c'est difficile d'accès, je ré écoute, jusqu'à que ça rentre, une fois deux fois, dix fois, no limit. Pour le coup, cet album est dans la catégorie "une seule écoute ma convaincu de ne pas acheter votre disque".

Durant tout l'album, on alterne ballades faussement tristes et chansons pseudo math-rock sur un tempo funk, qui, si il est efficace, n'en reste pas moins déjà entendu. Une chanson comme Providence, par exemple, mériterais qu'on lui enlève toutes paroles pour n’être qu'un instrumental discoïdant.
Stepson : je m'emmerde sec.
Moon : Merci, j'ai préféré ré écouter "Music For a Nurse" d'Oceansize, dans le genre. Au moins la seconde est elle une très bonne chanson.

Je ne vais dire que j'ai perdu cinquante minutes de ma vie, mais après un départ qui ma enthousiasmé, j'a été douché par la répétition des sons, des ambiances, du chant, de tout. Holy Fire  n'est pas un grand disque. En creusant  un peu, je trouve de très bonnes critiques de leurs deux précédent albums, mais pas de celui ci. Ont dit que le troisième album est un cap, si c'est le cas, c'est raté. Il y à de bonne chose tout de même sur cette album, dommage que le peu de qualité sois noyé dans le reste, qui lui est monotone et insipide.
Je préfère rester sur le single Inhaler, finalement le seul à retenir véritablement.


Pays/territoire : Royaume-Uni
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Jacco Gardner - Cabinet of Curiosities

2013
Trouble In Mind Record
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Ha, j'avais fait des plans pour ce week end, normalement, j'essaie de prendre trois ou quatre albums à écouter la semaine, et puis je fais les chroniques le week end. Ce qui se passe généralement, c'est que des albums me sautent aux oreilles sans prévenir quand je rentre chez moi, alors, j'avais pas prévu de chroniquer Jacco Gardner et son Cabinet of Curiosities, mais comme ça fait presque trois heures qu'il tourne en boucle sur mon ordinateur, je me suis dis que je ferais tout aussi bien d'en parler, puisqu'il risque fort de terminer dans mes tops albums. Parlons d'une  Pop lumineuse, dont je n'ai pas connus les balbutiements, étant trop jeune pour avoir vécu les années soixante. Parlons donc, de ces arrangements superbe, orchestré avec brio et génie, de cette voix sensible et discrète, de cette musique qui donne instinctivement une bonne humeur teintée de nostalgie. J'aimerais dire que ça ressemble à ceci ou cela, mais je ne peut pas, je manque de culture musicale. Ça me fait penser, de loin, à MGMT, mais en beaucoup mieux, ça me rappelle plein de vieux film, oui les années soixante, les 60's. De nostalgie, il en est question, à mon sens, cette musique ma beaucoup fait pensé aux  moment heureux de ma vie, avec une infime douceur, la musique s'infiltre et caresse les bons souvenirs, soufflant dessus pour les faire émerger. Entre pop et psychédélisme, Jacco Gardner réussit  à se poser en outsider très compétent et sérieux de Tame Impala ou Temples. Force est de constaté que c'est une très bonne années pour ce courant musical. Mais je dis  beaucoup de choses pour pas grand chose au final. Si vous aimez la pop, si vous aimez les claviers rétro, si vous aimez tout cela, essayer l'album, c'est quarante minutes de bonheur gratuite.


Pays/territoire : Angleterre, Royaume-Uni
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Pascal Pinion - Twosomeness

2013
Morr Music
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Il existe sans doute une légion d'adjectifs pour déterminé la musique des soeurs Jofridur et Asohildur Akadottir, aérien, planant, fragile, crystalin, gloomy, lo-fi. On tenteras tant bien que mal de poser une étiquette sur leur musique pour mieux pouvoir la situer, c'est normal, c'est humain. J'ai entendu le terme de folktronica , mélange de Folk et d'Electronica. Soit, ce n'est pas pire qu'un autre. Folk, Twosomeness l'est, avec ses guitares douce et discrète. Electronica, peut être, si on considère les  nappes de claviers  présente en accompagnement comme tel, sans parler des deux voix des  jumelles islandaise, qui pour le coup, mérite parfaitement leur adjectif : cristallin. Twosomeness aura surement un gout de déjà entendu pour certain.
La recette n'a rien de  nouveau après tout. il se démarquera quand même par la richesse de ses compositions, ses mélodies accrocheuses et, pour le coup, fragile. Si l'ont est séduit par le minimalisme et le DiY, comme moi, on appréciera ce disque, enregistre dans la chaleur d'une chambre/studio confortable rempli de quelques guitares, quelques claviers, des micros, un ordinateur et  beaucoup d'inspiration et de thé.
Un album qui sonne le glas de l'hiver, tandis que les première fleurs percent le manteau de neige, bravant le froid. Un album enregistré en anglais et en islandais, le truc le plus cool à écouter pour fêter le printemps.






Pays/territoire : Islande
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Masayoshi Fujita - Stories


























2013
flau
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On va se détendre, fermez les  yeux et se laisser emportez dans un autres univers par la musique de ce japonnais  adepte du vibraphone et d'instruments à cordes. Stories est un disque bien nommé, puisque la parti pris de l'auteur/compositeur est de nous faire voyagé dans son univers tranquille. Bien orchestré et interprété, Stories dévoile un panel de sensations riche, entre ambiant et musique traditionnel. Le disque à un rapport particulier à la nature. Ainsi, le titre des morceaux en lui même favorise l'imagination de l'auditeur sans trop l'influencer.



"Cloud" est long morceau  contemplatif, aérien, qui évoque parfaitement le vol lent d'un nuage dans le ciel. "Snow Fall" se suffit  à lui même, je crois, si il est question de chute de neige, je n'ai qu'a fermé les yeux pour la voir tombée, dans un silence religieux, recouvrant  petit à petit le monde d'une chape virginale. " Story of Forest " est un morceau plus abouti, dans un sens ou son titre évoque quelques chose de plus animé qu'un nuage ou une chute de neige, c'est là que les cordes font leurs apparitions pour enrichir la texture des morceaux, évoquant avec justesse cette vie exubérante qui peuple les forêts.
 Et ainsi de suite, chaque morceaux évoquant à son tour un élément naturel et reposant. Il invitera volontiers  à la réflexion et au repos, un disque parfait pour l'hiver froid, brumeux, impénétrable.
Certain le trouverons chiant, je ne leurs en voudraient pas, ce n'est pas un disque facile d'accès, il demande  un peu de temps et de calme, choses bien rare de nos jours. Si ce n'est pas le disque de l'année, cela n'en reste pas moins  un très beau voyage dans lequel on remettra les  oreilles avec grand plaisir. A dévorer pour les fans de Nils Frahm ou Olafur Arnalds.





Pays/territoire : Japon
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Ligts & Motion - Reanimation

2013
Deep ELM
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La musique instrumental, on le sait, peut faire passer des émotions tout aussi bien qu'une chanson traditionnelle. D'émotions, il en est question dans cet album du suédois Christoffer Franzen, 24 ans et un sens de la mélodie prodigieux. Ce Réanimation est le résultat des pérégrination nocturne du compositeur, comme il le dit  lui même : "Seul dans le studio, la nuit, obligé de  jouer chaque instruments dont j'avais besoin." Au résultat, impossible d'éviter la comparaison avec d'autres. Ainsi, la liste pourrait se faire autour d'artistes comme M83, Sigur Ros ou Angel and Airwaves, Coldplay ou Explosion In The Sky .

Ainsi, Cristoffer nous offre un album de plus d'une heure, ou une pop épique se mêle à un rock progressif sans prétention. Goutant  à tout les styles sans restrictions, de l'ambiant à l'émo, du genre rock cinematic à l'alternative la  plus classique. No limit. Et le résulta est bouleversant, véritablement. Chaque morceaux est  emprunt d'une dimension héroïque, dont  ont  imagine aisément les héros, tous beaux et courageux, repousser des armées d'adversaires, percés de toute part, luttant jusqu'à la mort dans un dernier carré homérique.
Tout cela se passe dans ma tête, bien sur. On imagine bien toutefois de tel morceaux employé dans un film tant cette dimension est exploité tout au long des treize pistes de l'album. La musique de Lights & Motion est contemplative, elle est de ces musique qui s'écoute avec un casque, les yeux fermé. Ceux qui n'ont aucune imagination trouveront cela chiant et répétitif, les autres apprécieront le voyage au bout de la nuit.



Pays/territoire : Suède
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Yo La Tengo - Fade

2013
Matador
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Il y a tout pour plaire dans cet opus de Yo La Tengo, qui fêteras ses vingt ans de carrière l'année prochaine. L’expérience paye parfois, preuve à l'appuis, Fade, est un savant mélange de pop sophistiqué flirtant avec pas mal de genre. Ont iras de sa petite accointance avec le rock psyché avec "Ohm",  introduction de l'album et sans doute l'une de ses pièces maîtresse, une entrée en matière qui provoqueras en moi l'envie d'allez voir plus loin ...

Si j'ai eu un peu peur sur "Is That Enough", chanson anecdotique un peu chiante aux refrains brodées de violons cliché, j'ai été rassuré à l'écoute de "Well You Better", troisième piste assez funky qui rappelle le travail de Baxter Dury sur Happy Soup. Avec cette voix sensible et légèrement en retrait... Ou "Paddle Forward" s'avère être une chanson tout  à fais classique dans sa structure, mais très efficace au final, entre pop et rock, entre guitare saturé et voix douce masculine/féminine. Arrive la cinquième piste et la seconde bonne surprise de cette album, "Stupid Things". Ça commence par une note de basse répétitive d'ou tout vas décoller. Sur cette colonne vertébrale vont se greffées le reste des instrument, batterie, une guitare tout en arpège et toujours cette voix, cette superbe voix de Ira Kaplan, leader de la formation, qui élève l’ensemble au delà de la somme de ses composants.
Le Folk n'est pas en reste, "I'll Be Around" est la troisième pépite de l'album. Nappes de synthés aériens, guitare sèche et c'est parti pour quatre minutes magique. On peut  faire mieux ? Peut être, en attendant, on peut faire aussi bien : "Cornelia & Jane", Ou une fois de plus ont met avant cette sensibilité caractéristique, et cette trompette discrète qui s'intègre si parfaitement à l’ensemble !
La baisse de rythme survient  avec "Two Trains". Non que ça soit une mauvaise chose. Cette chanson se danseras aisément enlacer dans les bras de votre moitié(e)/Coup d'un soir, après quelques verres, dans l’ambiance feutrée créer par quelques bougies habillement placer.
Back  to businness, un peu de sérieux. L'avant dernière track de l'album, elle vaut le coup rien que pour le rifs de guitare sèche tellement simple et en même temps tellement efficace.
Terminons en beauté avec "Before We Run", pièce terminal de l'album, voyage musical de six minutes qui fait écho à "Ohm", les deux chansons se renvoyant mutuellement la balle.

C'est si rare d'écouter un album ou il n'y à quasiment rien à jeter, hormis ce "Is That Enough" auquel je n'accroche  pas du tout (cela n'engage que moi), Tout est bon et très bon dans cet album, c'est assez rarer pour qu'on le souligne, alors en avant !




Pays/territoire : États-Unis
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