Archive for juillet 2013

Warm Digits - Interchange


























2013
Distraction Reccords
Bandcamp | Soundcloud | Web

Concept Album : Réaliser un album à partie des dessins et esquisse des archives de Tyne et Wear, des années 70's, ayant permit l'une des plus grande réalisation de génie civile, la construction d'un métro, lequel, celà n'est pas préciser mais ce n'est pas le plus important. La musique est la bande son d'un film qui permet justement de découvrir cet énorme archive.
La ou Warm Digits réussit son coup, c'est d'envoyer à la fois son auditeur dans le futur et dans le passé. On imagine sans peine les dédale tortueux de ce métro, le flot humains ininterrompu, la vitesse, l'architecture. C'est foutrement bien fait, c'est frais, c'est inspiré, et c'est mon disque de cette fin de mois.


Ci joint la vidéo de "Terminus", véritable tube de l'album, ou l'on peut apprécier une partie de ce fameux travail d’exhumation sous la forme d'un film psychédélique mais beau.

Pays/territoire : Royaume-Uni
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Lemolo - The Kaleidoscope




























2012
Autoproduit
Deezer | Bandcamp | Web


Lemolo, ou bien le projet de Meagan Grandall et Kendra Cox, deux musicienne provenant de Seattle, dans l'état de Washington. Cette patrie qui à fut naître et se consumer le grunge le temps d'un paquet de clopes et de quelques bière bon marché continue de produire de très bon musicien et n'a de cesse de ne pas se reposer sur ses lauriers déjà franchement pas très frais depuis le temps, à l'heure ou la mort de Kurt Cobain soufflera ses 20 ans l'an prochain.
Ici, exit les guitares saturés, les chants rauques, l'énergie et le reste. Il s'agit de tout autres chose, et à coller des étiquettes, on taperai dans le dream pop, mais de qualité. Par qualité, j'entend bien loin des productions larmoyante et  inaudible qui polluent le milieu, mais plutôt dans le sommet de la pile, là ou deux femmes touché par la grâce ont su mettre leurs talents au service de la musique et d'accoucher d'un album époustouflant de justesse et de tristesse.
J'ai un train de retard dans la mesure ou je découvre cet album près d'un après sa sortie et  le buzz suscité sur la toile. "Meilleur album non signé de 2012" selon Google Play's, et largement plébiscité par la blogosphère  indie, les deux musiciennes bénéficie d'une solide réputation scénique et parcours régulièrement le continent nord américain de festivals en concert comme en témoigne leurs site internet ou leurs pages facebook.
Lemolo, c'est un piano, une batterie, quelques backing vocals, un claviers discret et un violon, et un mélange en quantité adéquate pour formé  un cocktail parfait mais triste.
Tout, dans la musique du groupe, semble tendre vers la mélancolie et ses sentiments associés. On ne peut qu'être un peut dérangé  à l'écoute du disque par ces ambiances grise, en demi teinte. Ici, le kaléidoscope tourne au ralenti et les couleurs sont blanches, grises, bleu, froide. Ici, les voix sont mélodieuses, enrobé par des choeurs vaporeux. On y parle d'amour, du temps qui passe, de la vie, de la mort, et de ces petites choses du quotidiens.
Disque agréable, très agréables, qui s'écoute d'une traite, quoi qu'on hésité à appuyer sur replay, après tout, c'est l'été et il fait beau, attendons plutôt le soir, avec une bouteille de vin, et là peut  être, on se coulera dans le  lis, bras sous la nuque, regards dans le vide, avec des images d'océans et de forêts, perdu dans nos pensées, appréciant la solitude.

Pays/territoire : Seattle, État de Washington, États-Unis
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PHOX - Confetti



























2013
Autoprod
Bandcamp | Deezer | Web



Dès fois, on passe une journée de merde.
Dès fois on aimerait avoir un fusil pour tirer dans le tas et soulager ses nerfs mis à rude épreuves.
Et dès fois, on pleure presque en découvrant un groupe merveilleux, à la musique noble et belle comme on n'en fait que trop  rarement ces derniers temps.
 PHOX, c'est ce genre de groupes.
Pour ce qui est de la description, je laisse la parole au groupe lui même qui écrit ceci sur son bandcamp :

PHOX is from Baraboo, WI which is a place where kids often drink poisoned groundwater and become endowed mutants.The seven best friends who make up the ensemble happen to be blessed with madness, illusions of grandeur, and the inability to do the same thing twice. They also play music.

Le ton est donné. Si l'on peut être sur d'une chose, c'est que le groupe ne se prend pas la tête, comme le prouve les nombreuse vidéos de leur chaîne youtube. La ou certains chercherais à faire le buzz, le groupe semble avoir adopté la stratégie du grand n'importe quoi pour promouvoir sa musique. Mais là ou d'autres maquilleraient juste un manque d'inspiration, PHOX lui argumente avec une musique de qualité.
Et c'est peu dire. L'univers du groupe est bigarré, foutraque, bordélique, mais toujours poétique et optimiste.
La voix crystalline de Monica Martin parvient  à vous tirer les larmes, pour peut que vous soyez dans l'humeur, et ses six musiciens de talents lui taille un écrin digne d'elle. Encadrer comme elle l'est, l'amitié et l'humour aidant, PHOX délivre ici un EP six titres comme autant de diamants pop, un disque sublime qui parvient aisément à éclipser toute les merdes que j'ai écouter récemment. En 24 minutes, oublier tout les soucis, oublier toutes les absurdités d'un emploie barbant et débilitant, il ne reste plus que cet univers qui nous temps les bras  et qui nous appelle à grands cris. Pour vous en convaincre, et parce que c'est fun, l'EP dispose de son court métrage de 30 minutes, ou l'intégralité des titre de l'album vous seras servis, ainsi que des passages random de la vie du groupes. C'est frais, c'est drôle, et artistiquement très réussit ! Alors si toi aussi tu as appuyé sur lecture plusieurs fois de suite ...



Confetti by PHOX from Elder on Vimeo.



Pays/territoire : Baraboo, Wisconsin 53913, États-Unis
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Airbourne - Black Dog Barking


























2013
Roadrunner Records
Spotify | Deezer | Web

Airbourne, c'est le groupe que peut potentiellement kiffer ton père. C'est la simplicité même, sans prétention aucunes. Airbourne, c'est le truc que tu écoute à fond dans la voiture en écrasant l'accélérateur, le groupe qu'il faut écouter avec ta chaîne stéréo volume à fond, à en faire tremblés les murs, jusqu’à que tes voisins débarquent chez toi avec la ferme intention de te tuer. Airbourne s'écoute fort, point barre, à l'image du mur d'amplis Marshall qu'ils déploient  dans leurs concerts, qui sont autant d'hymne au hard rock, à la bière et à le sueur, au pogo virile, celui qui te fait manger de la poussière et perdre toute l'eau de ton corps.
Airbourne, c'est velu, c'est plein de testostérones, sans aucune forme de pitié, c'est pour les fans de guitares saturé, de mecs à moitiés nus qui transpire.
C'est le cd qu'il faut offrir à mamie pour toucher son héritage en avance, à bon entendeur, écoute donc la vidéo plus bas  pour t'en convaincre.


Pays/territoire : Australie
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