2014
Ekler'o'shock
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En trois chansons, datA balaie quatre ans d'absence discographique. Pionnier du revival 80's dans la musique électronique française avec Kavinsky, entre autre, on sent bien que le musicien a pris le temps de bien écouter ce qui se passait autour de lui. tout d'abords, il faut bien dire une chose : datA fait du datA, comme il le fait si bien, on y reconnaît sa patte entre toutes, la qualité est au rendez vous et les titres sont accrocheurs. L'ennuie, c'est que ces trois derniers morceaux, qui auraient pu figurer sur Skywriter, semble sorti tout droit d'un album de Kavinsky, justement, ou même du dernier Justice.
Bien sur on y retrouve tout ce qui à fait le bonheur des fans du dernier albums, ces mélodies douce/amer, ces claviers baroque inspiré du classique, ces guitares discrète et acide qui donne du tonus aux morceaux, ces chœurs triste qui tombe toujours à point nommés. Ouai, datA fait du datA.
Bien sur on y retrouve tout ce qui à fait le bonheur des fans du dernier albums, ces mélodies douce/amer, ces claviers baroque inspiré du classique, ces guitares discrète et acide qui donne du tonus aux morceaux, ces chœurs triste qui tombe toujours à point nommés. Ouai, datA fait du datA.
Comme on est pas là pour distribuer les blâmes, on va dire ça : ces trois chansons sont hyper efficace, bien composées et arrangées,mais arrive trop tard pour avoir ce goût de nouveaux qui aurait pu les faire apprécier du publique. La ou en 2009, datA se plaçait en pionniers, figure maintenant de nombreux groupes qui occupent aussi le créneau, et avec talent. On ne vas pas demander non plus un changement d'orientation musicale non plus, donc on va attendre l'album, qui ne manquera pas d'arriver, je l'espère, et on rendra un jugement définitif à ce moment là. Et quand à ceux qui vomissent sur "Nightcall" de Kavinsky, a force de l'entendre, qu'ils écoutent "Desert Eagle" en temps que palliatif, ça devrait le faire !