Archive for juillet 2011

Adebisi Shank - This is the Second Album of a band called Adebisi Shank (2011) [9/10]


Humm comment dire, déjà, c'est une découverte deezer, et ça c'est rare, parce que je n'y met  quasiment  plus les pieds ( cette putain de pub, et je me refuse  à avoir un compte payant ). Bref, Adebisi Shank, c'est la rencontre entre Mick (batterie) et Lar (guitare) des Terrodactyl et de Vince (Basse) à Dublin, courant 2007. Immédiatemment, les trois compères se mettent  à composer et l'alchimie opèrent bien puisque sortiront  un premier EP suivi d'un premiers album long d'une vingtaine de minutes tout en intensité et en rage. 
  Ils récidivent donc en 2011 avec "This is the Second Album of a band called Adebisi Shank", un véritable album, entre guillemets, puisque d'une durée honorable de quarante quatre minutes. Dès la premières tracks, on en prend plein la gueule avec la chanson "International Dreambeat", une chanson taillé pour les salles. Claviers discret, guitares virtuoses, gros son de basse et batterie bourrin, ça envoie du steak.
Très peu chanté, l'album est surtout prétexte à des pogos violent et des headbang frénétique, que l'on soit seul devant son pc (comme moi) ou bien devant la scène avec  un millier de personnes. L'artwork de l'album en lui même est assez anecdotique, encore qu'il met bien en évidence le côté psychédélique de leurs musique, les deux zèbres galopant dans un paysage extra terrestre à tout vitesse. Car c'est bien aussi de rapidité dont  il est question, il m'a suffit de voir quelques vidéos du groupe en actions pour  mieux  cerné le truc. Ces mecs là s'amusent, point barre, et toute la virtuosité dont  il font preuves, ainsi que l'énergie n'est au service d'aucune cause, sinon la leurs et celle du public. AdSh ne touche pas de gros cachets, ne remplit pas les stades, ne doit pas vendre des millions de disque, mais on sent bien que ces gras là s'en battent et qu'ils sont trop content de faire ce qu'ils font, et ont les comprend.  
On regretteras peut être que l'album perdent en intensité à partir de la cinquième track, même s'ils s'en sortent plutôt bien sur la fin.  Malgré ces quelques inégalité, l'album n'en reste pas moins d'une force de frappe assez élevé et devrais faire bouger leurs culs à pas mal de monde, à n'en pas douter un groupe qu'il est bon d'allez voir en live.
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Pays/territoire : Irlande
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White Fence - Is Growing Faith (2011) [9.5/10]


Entrée fracassante dans le Top Of the Pop pour White Fence et son deuxième album Is Growing Faith. Alors comment dire, c'est assez gonzo comme album, pop, rock, surf rock, psyché, c'est revival 60's, britpop, impossible de classer clairement le groupe et sa musique tant elle touche  à tout. Ce que l'on retiendra, c'est que malgré un côté très lo-fi , la justesse des composition est vraiment touchante, il s'en dégage  une ambiance  magnifique qui ne laissera personne indifférent. On regrette, au début, que l'album ne fasse que 38 minutes ( 16 morceaux tout de même! ) , et puis au final, on s'en fout, puisqu'on finira fatalement  par le programmé en boucle sur son player habituel. en avant  pour un disque pop sans faute.




Pays/territoire : Angleterre, Royaume-Uni
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Seasick Steve - You Can't Teach An Old Dog New Tricks (2011) [9.5/10]


Seasick Steve, un peu un ovni du blues en ces temps ou la production musical est saturé de claviers pas toujours très seyant. Tout petit, le jeune steve passe son temps à écouter de la musique, du blues notamment. Il va grandir bercé par ces histoires de vagabondage dans la nature, et grand bien lui fera, car  il quittera le domicile familial avant ses quatorze ans ! Survivant  grâce à de petits boulots, il réussit tant bien que mal à s'en sortir, tout juste. Car Steve ne compte plus ces passages en taule, ni toutes ses  nuits passez à dormir dans le caniveau, et toute ses expériences nourriront  une  musique riche, très riche, un Blues propulsé par un énième revival sur le devant de  la scène. Mais honnêtement, quand on fait une  musique pareil, on se fout bien de savoir si le blues est à la mode  ou pas. C'est intemporel, ça parle  à tout le monde, tout le monde  y trouve son compte. 
Car la musique de Seasick Steve s'écrit dans des morceaux de nuit, c'est l’Amérique des 70's qui respire ici aux sons des  guitares et d'une voix éraillée, blessée, mise  à rude épreuve par la vie en général. A force de travail, le bonhomme finira par crée son propre studio et s'installer  à Seattle, ou pour l'anecdote , il rencontra Kurt Cobain. Maintenant, écoutez cette guitare si simple, si basique, mais qui remplir tout l'espace qu'on lui donne par la simple volonté des doigts du bonhommes, allez, et laissez vous conquérir.





Pays/territoire : Seattle, État de Washington, États-Unis
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Kaiser Chief - The future is medieval (2011) [6/10]


On avait entendu parler de cet album bien avant sa sorti pour son système de commercialisation original. En effet, chaque fan pouvait, à l'époque, télécharger les chansons qu'il voulait sur un catalogue de vingt tracks. il pouvait les arranger comme il le souhaitait et personnaliser  la pochette pour obtenir un album unique.
Après avoir gruger les charts, une version comprenant treize chansons est finalement commercialiser dans le commerce sous le nom " The futur Is Medieval", ok. Kaiser Chief bénéficie outre manche d'une popularité très forte, alors qu'inversement, le groupe n'a jamais vraiment percé parmi le  public français, contrairement aux Kooks  ou Kasabian. Ce dernier album reprend les même vielle formule, mais l’exercice est moins réussit, un peu comme la copie d'une copie, etc etc.  Certe, cet album est véritablement taillé pour le live, du moins, les chansons qui sortent un peu du lots, mais rien de très brillant . Cet album n'entrera jamais dans l'histoire, correcte mais pas original, il transpire des influences du groupe (David Bowie,  The Beattles, Madness, Gary Numan). Les fans hardcore y trouveront leurs comptes, les gens qui ne connaissent  pas risque d'être déçu et de passer vite à autre chose. toutefois, on se consoleras en attendant  une de leurs prestations enflammé, là ou malgré tout, ces chansons trouveront leurs places. 





Pays/territoire : Angleterre, Royaume-Uni
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Birdy Nam Nam - New track "Defiant Order" FREE


Download it free on http://birdynamnam.com/



Pays/territoire : France
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Reverend And The Makers - The state of things (2006)



De retour pour vous parlez de Reverend and the makers, groupe rock ayant su intégrer des éléments électro tout en restant... rock!
Les voix sont magnifiques qu'elles soient naturelles ou modifiées par quelques effets, mais ce qui m'a scotché la première fois, ce sont les lignes de basse. Accrocheuses, ravageuses, elles vous donnent envie de danser, de remuer sur le rythme. Sur elles viennent se greffer des guitare simple, pas alambiqué, et du clavier.
Les vidéos parleront plus que des mots...




Enjoy!

Dug'

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Incubus - If Not Now, When (2011) [2/10]


Décevant retour d'Incubus,  j'avais décider de leurs donner une chance, malgré le très médiocre "Light Grenades" de 2006. Cette fois, le divorce est consommé. Incapable de faire un bon album depuis "Sciences", Incubus est devenu un groupe Pop pour adolescent pré pubères sans aucunes ambitions. Ce dernier albums n'est qu'une suite de chansons pleurnichardes sans originalités. Adieu Incubus, je t'ai beaucoup aimer.

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The Horrors - Skying (2011) [9/10]



Le nouvel album de The Horrors est en écoute  intégral sur leur site web et c'est une excellente surprise. Les cinq anglais avait placé la barre très haut avec leur précédente bombe "Primary Colours" en 2009. Dans le petit dernier, les mêmes bonnes formule sont ré utilisé, mais en mieux. Skying  possède des mélodie plus travaillées, moins garage que son prédécesseur, la voix est mieux maîtrisé les musiciens plus doués, bref, The Horrors  passe haut la main l'épreuve du troisième album, qui est soit une catastrophe soit  une confirmation du talent d'un groupe ( voir le dernier  Arcade Fire, album magnifique ). Pour les Français, Le groupe seras en concert à Rock En Seine le 28 Aout 2011. Sur ce, je vais laisser parler  la musique, à bientôt.






Pays/territoire : Angleterre, Royaume-Uni
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England in 1819 - Three Cheers For Bertie (2009) [8/10]


Pas grand chose sur cet album sur le net. De ce que j'en sais, il s'agit d'un groupe dont le nom vient du poète anglais Percy Bysshe Shelley dont l'ambition est de réconcilier musique classique et musique populaire. L'album Three Cheers For Bertie démare par la chanson Trophy sixty one, une batterie discrète accompagne un orgue tout aussi discret, pour laisser la place à la voix. Ce n'est pas sans rappeler le premier Arcade Fire, Funerals. Mais surtout, ça marche, les deux voix, une féminine et masculine, s'accorde parfaitement. C'est plein de nostalgie, c'est sans prétention, la chanson monte en pression pour laisser place au guitare, toujours sur ce tempo lent.  L'album commence très fort. Tout  au long du reste , les chansons vont s’enchaîner sans temps mort. Cela ne ressemble à rien de connue tant  les influences peuvent être nombreuse, ainsi la chanson Blue Ribbon fais penser à Ginzhu (Dragster Wave) . Cet album aurait surement mérité une meilleure reconnaissance de la part du monde musical. Certe, il est triste, mais tellement mélodieux, certes on a déjà entendu ça, mais avec autant de talent ? Ce piano sur Parks , une ballade entre tristesse et espoir, accompagné de ces cuivres en sourdine, c'est Radiohead que j'entend. Bref, un premier album très éclectique et très réussis on toute leurs influences ont été bien digéré, même si cela reste des fois assez évident.




Pays/territoire : Angleterre, Royaume-Uni
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Bangers - Small Pleasures (2011) [6.8/10]


Ça ressemble  à n'importe quel groupe de Punk-Rock et pourtant, c'est toujours aussi cool, replongés dans vos années lycée avec Bangers et son album "Small Pleasure".  L'album est en téléchargement  gratuit, clik sur download et fais toi plaisir ! Des fois, faut savoir fermer sa gueule, allez bon écoute !







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Jake Garrison - In Rainbit (2011)


L'intégralité de l'album "In Rainbow" de Radiohead joué en musique 8 Bit, juste pour le fun !
Jake Garrison est un musicien dont l’intérêt se porte sur le remix de chanson connue en musique style jeux vidéo, il à également refait entièrement l'album de Pink Floyd "The Dark side Of The Moon". en savoir plus : http://fruityloops.bandcamp.com/




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Tycho - Past Is Prologue (2010) [7/10]


Board Of Canada (BOC) n'en finit  plus d'enfanter des rejetons musicale aussi doué que talentueux. Je me suis penché sur le dernier album de Tycho, Past Is Prologue, qui est en fait  une ré édition de 2005 remasterisé agrémentée de remixes. Tycho, a.k.a Scott Hansen n'essaie même pas de maquiller ses  influences, l'album est dans la  ligne droite des meilleurs  BOC, digne successeur des deux écossais dont  on entend  presque plus parler. Les beats sont hip-hop, les claviers sont vintages, l'album est un instrumental, une basse discrète mais omniprésente est sur tout les morceau et  leur donne de la consistance. Le tout souffre sans doute dans manque de  prise de risque et d'originalité, pourtant, on en veut pas  une seconde à Tycho de faire revivre ce son si particulier qui nous a fait  vibrer il y à quelques années. On aimera cet album calme et mélodieux pour ce qu'il est, un hommage à BOC, une soundtrack idéal de fin de soirée. Enfin, allez donc faire un tour sur leur magnifique Blog .







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Bon Iver - Bon Iver (2011) [5/10]


Normalement, je suis assez fan de Folk, j'aime ça et et le folk me le rend  bien en général. En 2011, la petite bombe qui fait la  une de tout les magazines  indés (et les autres) en ce moment c'est Bon Iver, le groupe de Justin Vernon, chanteur timide et charismatique au timbre  unique. Au programme, chansons folk, bien sur, chemise de bûcheron, pull en laine, mitaine, barbes, tout les clichés sont là. Avec un album qui obtient la note de 8/10 sur  pitchfork, on pouvait s'attendre à un album monumental. surtout que le monsieur à été samplé par Kayne West pour son dernier album, rien que ça ! Donc, j'achète cet album (une version digital pour androïd) et tout content de moi, je m'apprète à passer un agréable voyage en train, alléché par les vidéos déjà vu sur le net. Et la, c'est le drame. Plus le temps passe, plus mon malaise grandit, car je n'accroche pas du tout  à l'univers du bonhomme. Bien sur, c'est un bon musicien, sa voix est original, oui, je ne peut le nier. Mais le problème est simple à résumer, je me fais chier, littéralement. J'entend ici les puristes brandir fourches et torches, montant un bûcher  pour m'immoler vivant. Qu'ils se calme, des fois, ça passe pas, ça arrive. Comme une critique n'engage que son auteur, j'invite tout le  monde  à se faire son avis et  à venir en débattre ici, si vous le désirez.

Listen on Myspace.
Ecouter l'album en version intégrale sur Tsugi.fr (free)




Pays/territoire : Wisconsin, États-Unis
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IZIA




Je suis bien en retard sur la sortie de l’album (2009…) mais peu importe, il était obligatoire que j’en parle.J’ai découvert cette artiste en lisant un journal ou un magazine dont je ne me souviens plus le nom (cuite de la veille oblige…).Une très jolie photo ornait la page sur laquelle se trouvait un court article sur la fille de Jacques Higelin et son groupe.Première impression :

Encore une fille à papa qui fait de la musique de merde et adopte ces putains de stéréotypes Rock’ n Roll très à la mode depuis quelques années… Mais ma foi, elle a une plutôt belle gueule …, allons voir ce que ça vaut…Deuxième impression :Je me rend sur « deezer » (qui à l’époque ne nous bombardait pas de publicité et ne nous restreignait pas à 5 pauvres heures d’écoute), tape « Izia » et lance, l’air dubitatif, la première chanson de l’album…Premier riff… ah ouais … cris, batterie et basse arrivant … mais dis donc … puis cette voix ! … PUTAIN MAIS … (RE) PUTAIN MAIS C’EST SUPER COOL EN FAIT !!!!! …Puis arriva la deuxième chanson, la troisième, la quatrième … et enfin la douzième.OUAHOUAHOUAHAHAHA ! Y AURAIT-IL UN DIEU ?!

(tout ça pour dire que j’ai bien fait d’écouter cet album dans lequel il n’y a sincèrement rien à jeter !)L’album en lui-même est enregistré avec un son très brut ce qui lui confère une putain de putain de pêche !!!Mais justement… Ayant eu l’occasion d’aller voir le groupe en live au « Ouest Parc Festival » au Havre fin 2009, je dois dire que ce « son brut » se rapprochant d’un « son live » ne m’a pas permis de prendre la claque que j’attendais.En effet, j’ai entendu l’album joué quasi intégralement à l’identique (sauf « Sugar Cane » qui ne figurait pas sur la setlist bien que cette dernière soit particulièrement réussie mais trop calme pour le live…).
Les musiciens ne bougent pas beaucoup sur scène, sauf le batteur qui se donne à fond. Izia, elle, bouge un peu, ondule, convulse, mais n’arrive pas à me convaincre.
Je n’arrive pas à sentir LA RAGE. Je dandine donc tout le concert.Cette prestation est à l’image des dernières critiques de live d’Izia émanant d’un magazine « BOBO/Baby Rocker » dont je me méfie (Rock and Folk) mais qui est en mesure, de temps en temps (très peu), de donner des avis dignes d’intérêt.Cette critique faisait état d’un manque de plus en plus flagrant d’entrain lors des derniers shows et de la terrible manie de la belle d’en faire toujours trop avec sa voix qui pourtant est naturellement hors normes !En conclusion, rien ne sert d’en faire trop, il est normal qu’au bout d’approximativement 2 ans de tournée le quatuor se lasse de jouer tout le temps les mêmes compos… S’il vous plait, mettez vous à écrire le nouvel album et surtout,
SURTOUT, ne nous décevez pas (la barre est très haute)…

Ps : Izia, la pub petit bateau... T'étais pas obligée...

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Kasabian - West Ryder Pauper Lunactic Asylum (2009)

Aujourd'hui je vous parle d'un album sorti en 2009, mais toujours d'actualité, n'ayant pas de successeur pour le moment (le nouvel album, Velociraptor, sort le 19 septembre, date à noter sur un coin de votre ampli). Il s'agit de West Ryder Pauper Lunatic Asylum, album au nom impossible mais ô combien formidable de Kasabian.

http://2.bp.blogspot.com/_R0y9JnJy2gU/Shwn3nFhJYI/AAAAAAAAAZY/7Lt15lI4wFg/s400/Kasabian+-+The+West+Rider+Pauper+Lunatic+Asylum+(2009).jpg

WRPLA - ce sera plus simple, ok? - fait suite à Empire, sorti trois ans plus tôt, et ses tubes ultra connus : Empire et Shoot the runner. Plus abouti à mon sens, ce troisième disque studio est également beaucoup plus accessible, entre folk, gros rock bien testostéroné et électro. Fire et Underdog sont de véritables tueries qui vous resteront probablement dans le crâne dès la première écoute, et le reste vous fera voguer dans les sommets de la bonne musique.

Formidable groupe live, (info inutile : ils ont assuré les premières parties de Muse dans ses tournées de stade après la sortie de The Resistance), les anglais de Kasabian - oui, on aurait du naître outre manche, décidément - sont sûrement voués à un avenir grandiose, dans les plus hautes sphères du rock. A voir sur scène!

Ecouter sur Deezer


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Vinyl Sessions Part 1- The Damned Anything


Il y a de ces groupes qui avec le temps tombent dans les oubliettes du Rock and Roll.
Monté en 1976 en pleine révolution "Doc Martens/Pogo/Bière" The Damned est un groupe qui a sa part de légende. Fruit de la séparation des London SS ( Mick Jones du Clash et Tony James Generation X) le groupe débute en première partie des branleurs Sex Pistols et sont signés sur le mythique label Stiff Records avec qui ils commettent leur premier album éponyme, véritable manifeste du punk britannique.
Les années passent et les galères s'accumulant (nombreux changements de line-up et recherche permanente de compagnies d'enregistrements) c'est avec le courant New wave que le groupe retrouve son souffle.
Sorti 10 ans après l'apparition du groupe, l'album Anything est un chef d'oeuvre du mouvement cold-glam-punk dont ils sont le fer de lance. C'est aussi un magnifique exutoire pour Dave Vanian, chanteur torturé à la voix "caveuse" qui tend depuis le début du groupe à se faire passer pour un vampire.
Anything jongle parfaitement entre hymnes symphoniques pré-gothiques dans la lignée des Cure et Joy Division ( TighTrope Walk - The Portrait) et morceaux glam-punk (Psychomania).
Déjà très populaire aux Etats-Unis, les Damned profitent à la sortie de cette album d'une reconnaissance de la part de la critique, ce qui met fin à leur errance entre les maisons d'enregistrements.
Morceau d'ouverture Anything est la grande perle de cet album, et porte l'empreinte furtive du très grand roi de la pop : David Bowie.

C'est donc avec Anything-The Damned que débutent ces Vinyls Sessions qui sont des chroniques d'albums grands formats, à découvrir ou redécouvrir tous les dimanches soirs sur Black Box Baby !

http://www.youtube.com/watch?v=qzHvZpDJAzg


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Keith Richards - Talk Is Cheap (1988)


Tout le monde est à peu près d'accord pour affirmer que les Rolling Stones sont le  plus grand groupe de rock du monde, et que leur guitariste, Keith Richards, est l'un des dix plus grand guitariste encore en vie. Si on est d'accord pour dire cela, on peut appuyer sur play et écouter l'album solo de Keith, Talk is Cheap ("parler c'est facile"). Sur ce disque et ses deux faces, onze chansons qui sont autant de petite bijoux rock. L'inspiration fuse de partout,  Keith se fait  plaisir avec un groupe qui lui est entièrement dévouer et qu'il à constituer  lui même  avec des amis musiciens sous le nom de Keith richards and the X-Pensive Winos. Blues, Jazz, Funk, Rock, Pop, tout y passe, y est digérer et recracher pour produire un album que j'ai pris un rare  plaisir  à écouter, tant par sa  maîtrise, que par sa  liberté. Libérer de l'influence  de Mick Jagger, Keith peut enfin exprimer son immense talent, lui qui n'a jamais pris des cours de guitare sérieux, lui qui à tout appris tout seul, l'oreille collé à la  platine du vinyle  lorsqu'il était  plus jeune, écoutant religieusement ces bluesmans qu'il apprécie par dessus tout. Talk Is cheap est de ces disques rares qui marque une génération lorsqu'il sorte, un genre de climax dans le genre. après l'avoir écouter, on se dit que la musique actuelle est bien fade et triste, dans une époque ou la production de tube  à la chaîne est devenu le leitmotiv d'une  industrie musical à l'agonie, ce disque est une bouffé d'air frais rock'n'roll.  Procurer vous vite ce disque, vous qui aimez la musique et laissez vous séduire par le timbre si particulier du grand guitariste qui signe  là un des meilleurs disques de rock'n'roll de l'histoire.

 







Pays/territoire : Cité de Westminster, Londres, Royaume-Uni
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Nine Inch Nails - The Pretty Hate Machine Sessions (1988)




C'est bon de trouver des inédits de groupe que l'ont aime. Même que j'aime beaucoup. Pretty Hate Machine Sessions est un vinyle très rare que j'ai eu la chance d'acquérir pour pas trop cher très récemment . Il ne s'agit pas de l'album du même nom, vu que ce dernier lui est antérieur. Il contient des lives de très très bonnes qualités mêlés  à des samples de voix provenant de diverse télé que Trent Reznor déteste et deux inédits, comme ce Maybe Just Once qui sonne comme une bonne chanson pop des années 1980, avant que le démon de l'alcool et de la drogue entraîne  Reznor vers un abîme sombre d'ou il mettras dix ans à sortir, produisant au passage ses meilleurs albums. Pour  un disque aussi anciens, la qualité de la production est bluffante. Ça sonne comme un album à part entière. C'est l'occasion d'écouter des version différentes de chansons que l'on connait bien, comme cette version de The Only Time down tempo. Ou encore cette version inédite de Kinda I Want To  moins sombre que son homologue de l'album, et qui possède un vrai côté épique ! La particularité de cet album tient aussi du fait que TR, lors de la post  prod, décida d'ajouter des ponts entre les morceaux pour qu'il n'en fasse plus qu'un seul au final. Le son est plus  Brut, comme je vous disait, un vrai côté live, un peu à la manière des Reharsal auquel il nous a habitué plus récemment . Pretty Hate Machine Sessions est un disque  qui s'adresse surtout au fan de NIN, comme  moi, à ceux qui désire s'aventurer encore un peu plus dans la sphère Reznor. C'est un très bel objet de collection , presque introuvable actuellement, sauf si vous décidez d'y mettre le prix. En bonus, quelques sons du Vinyle :

Intro + Sanctified :


Pays/territoire : Cleveland, Ohio, États-Unis
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Le Chant de la Machine - 2011



Le Chant De La Machine est une œuvre graphique de référence sur la culture musicale majeure de la fin du XXe siècle : les musiques électroniques. Le Chant parcourt 50 ans d'histoire de ce genre musical à travers les continents, les villes, les tendances, des musiciens des clubs gays de Manhattan aux ghettos noirs de Chicago, des plages d'Ibiza aux usines de Manchester, de John Travolta aux Daft Punk. Au travers d'événements réels ou de personnages plausibles, les spécialistes et néophytes appréhenderont le cheminement de cette musique beaucoup écoutée et pourtant mal connue.
Lors de sa parution initiale en deux volets, en 2000 puis 2002 (Editions Delcourt), Le Chant reçut un très bon accueil presse et public, voire les atours d'une BD culte, aussi bien pour son acuité historique et documentaire que pour son traitement graphique multipliant les styles audacieux et les mises en scènes fantaisistes.
Le Chant de la machine est scénarisé par David Blot et dessiné par Mathias Cousin, décédé après la parution du tome 2.



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Digitalism - I Love You, Dude (2011)

Remarqué il y à quelques années par le label franco-japonnais Kitsune Maison,  le duo d'Hambourg livre son second album. Sobrement intitulé "I Love You Dude", soit la phrase la plus prononcée par nos amis anglo saxons lorsqu'il sont bourrés, cet album, à mon grand soulagement, est parvenue à se défaire des très imposante inspiration qui laissait au précédent un arrière gout  désagréable (pseudo daft punk).
Un album honnête qui contient de très bonne chansons à passer en soirée comme la track "Blitz" calibrée pour les dances floors . Rien de très neuf, certes, mais on finit par aimer. 


Pays/territoire : Hambourg, Allemagne
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