Archive for août 2019

Big Search - Slow Fascination

























2019
30th Century Records
Spotify | Deezer | Bandcamp

A la base je voulais parler du dernier Tool, mais en fin de compte, tout le monde va en parler pour dire que c'est génial ou bien que c'est de la merde. Je vais plutôt évoquer en quelques phrases l'un des plus beau albums que j'ai écouter cette année, une découverte du hasard, une chanson qui en entraîne  une autre, dans un engrenage  infernal. C'est le disque parfait qui s'écoute en boucle avec une facilité déconcertante, parfais pour ne rien faire, mais le faire avec le sourire quand même, et le coeur léger en prime.
Un musicien tout seul, arrangements, musiques, paroles, et tout le reste. Pas besoin d'être à plusieurs pour produire quelque chose de remarquable. La preuve avec dix chansons qui absorbe sur le spectre de la pop, de la folk, de l'expérimental qui n'ont rien à envier à un Tame Impala, quand ils étaient au top de leurs forme (en 2012 évidemment). Je les citent histoire que vous mettiez un genre sur la musique de Big Search. Mais évidemment, le mieux, c'est encore de plonger dans ce disque fascinant à bien des égards, riche, pétri de talent et pas tape à l’œil, honnête et beau.

Posted in , , , , , | Leave a comment

Dye - Psychic Data

























2019
Copper Mouth Records
Spotify | Deezer | Bandcamp

Pour un premier effort, on à fait pire. Le trio d'Oakland, Californie, dépense une bonne énergie sur cet trop court mini album / EP, Psychic Data. La recette est assez simple, des guitares coupante, rasoirs, tout en bruit, sur lesquelles on à greffé ces voix murmurées typique d'une branche du shoegaze. Et ça marche. Entre rythmique punk et ballade triste, Post Punk et garage, le grand écart n’empêche pas que cet album possède une belle cohérence, une énergie rafraîchissante, et une indéniable honnêteté créative. 
Dans les chansons de Dye, il est plus question de tristesse et de sérieux que d'autre chose, mais malgré une certaine noirceur dans le texte, on sent quand même que l'espoir n'est pas loin lui, et qu'il suffit de tendre l'oreille pour en écouter la mélodie caché. Pour reprendre les mots du groupe, on a à faire à un album situé à la laideur et de la beauté, et ça marche super bien.

Posted in , , , , , | Leave a comment

Cave In - Final Transmission
























2019
Hydra Head Records
Spotify | Deezer | Bandcamp

Impossible de ne pas écouter l'album au regard de la tragédie qui l'a engendré. Le 28 Mars 2018, Caleb Scofield, le bassiste du groupe, se tue dans un accident de la route en rentrant de répétition. C'était la première fois que les membres du groupe étaient réunis pour jouer ensemble depuis sept ans, c'est aussi la dernière. 
De cette sessions, ce rehearsal, ils garderont la moindre ligne de basse, et enregistreront avec ce matériel brute un album, que voici. Assez court dans la durée (trente et une minute), mais sans aucun temps mort. Des lignes de basse lourdes, trempées heavy, stoner, qui claquent et résonnent, sur lesquelles viennent s'ajouter tout un arsenal de violence contenue, presque silencieuse. Résolument triste, emprunt de la tragédie qui imprime dans chaque notes, chaque phrases, le souvenir douloureux d'un amis, d'un père de famille. 
L'album est résolument cathartique, et doit s'écouter comme tel, une thérapie de deuil en musique, mais aussi un hommage brillant et vibrant dans un écrin musicale riche en émotion qui fera date, j'en suis certain.  Le mot du groupe, enfin , pour terminer, car après tout ils sont bien les mieux placés pour en parler, mais quand même, repose en paix Caleb.

In February of 2018, the members of Cave In gathered at their rehearsal space in Boston to work on material for their next record. It had been nearly seven years since their previous album, White Silence, had been released. But they’d been writing and rehearsing methodically, off and on, to craft a worthy follow-up. In that time, guitarist/vocalist Steve Brodsky had started prog-metal power trio Mutoid Man, drummer J.R. Conners and guitarist Adam McGrath started psych-punk outfit Nomad Stones, and bassist Caleb Scofield was busy with simian rock supergroup Old Man Gloom and his own band, Zozobra. After jamming all weekend with Cave In, Caleb got in his truck and drove home to New Hampshire. It was the last time his bandmates would ever see him.

On March 28th, 2018, Caleb was killed in an auto accident. There are no words to describe what a devastating blow this was to his wife and children, his friends, family and bandmates—not to mention his countless fans around the world. A light had gone out—a light with a monstrous bass tone and a feral roar. An occasionally stubborn light with a million-dollar smile who loved his family and music above all else. To describe his death as a tragedy would be a colossal understatement. Caleb didn’t live to see 40.

Originally intended as demos, Final Transmission marks the first Cave In album in eight years and the band’s last with Caleb, who performs on all of the songs. Caleb’s voice—musical and physical—are everywhere on Final Transmission. The opening title track is a voice memo of a song idea he sent to his bandmates the last time they saw each other. “Hearing his voice fucks you up a little bit,” Adam says today. “We were surprised to get it from him, actually, but we thought it was great. And that was it. In a weird way, it’s the end of the story as far as our relationship together.”

Caleb plays bass on six of the album’s remaining eight songs, and guitar on the other two. Even a cursory listen of Final Transmission will offer glimpses of past Cave In eras, from the scintillating space rock of their 2000 breakthrough opus Jupiter to the ripping metal melodies of White Silence. All told, it’s a direction that was largely spearheaded by Caleb. “When I look back at our email correspondence about the demos, Caleb had a really crystallized view of how to navigate the whole thing,” Steve reveals. “He was really digging the stuff that was spacey, heavy, a little bit weird, but with very pretty melodies and hooks. I think he was encouraging us to embrace what we’ve always been good at and what sets us apart from our contemporaries.”

Half the proceeds from Final Transmission will be given to Caleb’s wife and children. “I feel really lucky to have this record,” Adam concludes. “I love it, but I don’t like listening to it. I’m sure I’ll listen to it eventually, but right now it’s difficult. Just hearing him play kills me. I’ll miss him forever.”
 

Posted in , , , , , , , | Leave a comment

Pelican - Nighttime Story

























2019
Southern Lords Recordings Inc
Spotify | Deezer | Bandcamp

Il y a quelque chose de foutrement inspiré chez Pelican. Il y a un coté déjà vue, avec une musique qui tient du métal des  origine, proto métal même à la Fuzz mais en plus tragique, un peu de Led Zeppelin aussi, en cherchant  un peu. Si la comparaison s'arrête  là ( déja, c'est de l'instrumental), on est quand même tenter de se poser la seule question qui vaille : pourquoi j'écoute ce disque depuis presque deux semaine tout les jours sans arriver à me décider à enfin le chroniquer ? Et surtout pourquoi ? Pourquoi est ce que j'y revient toujours ?
Quelques chose de sale colle à la peau de cette musique, quelque chose de triste et de brutal, froid et chaud  à la fois. Quelque chose qui cherche  à exprimer des émotions au travers de l'interface de  notre cerveau, mais en balbutiant, trop fort ou trop convenu.
C'est dire qu'il me fait perdre la tête, pour mon plus grand plaisir.
L'explication la plus simple, c'est surtout qu'il est foutrement bon, autant qu'un bon whisky bu dans de bonne conditions, accompagné d'un cigare, vous voyez le délire. Je vous en ressert un ?


Posted in , , , , , , | Leave a comment

Ra Ra Riot - Superbloom

























2019
Ra Ra Riot / Rob The Rich Recordings
Spotify | Deezer

Métaphore d'un monde qui part à la dérive, la pochette de l'album, ce bouquet de fleur qui se pixelise, qui devient  flou par endroit, et à l'image de la musique qu'il contient. Dès fois, ça s'écoute tout seul, un genre de ballet électro pop à peu près dans le spectre émotionnel normal. Et puis les autres fois, souvent, disons qu'on est plus dans le dur, à causer de guerre, de famine, de malheur divers sur l'échelle de la douleur. Globalement, il s'agit bien d'un disque triste, ce qui ne l’empêche pas d'avoir toute ses qualité intrinsèque.
On remarquera déjà à l'écoute que ce mélange de pop et d'électro fonctionne parfaitement, qu'aucune chanson ne pompe honteusement une autre, tout en ayant un disque d'une grande cohérence  musicale. C'est d'ailleur la diversité de sa musique qui en fait sa force, avec force d'éclectisme, avec cet esprit pop indéniable, celui qui vous fait bouger tout seul sur la chaise du bureau. Mention pour le chant, tout en énergie mais aussi en retenu, ainsi que pour les chœurs, très réussit.
Peut être pas un album qui fera date mais sans conteste un must listen de cette année.


Posted in , , , , | Leave a comment

The Soft Cavalry - The Soft Cavalry

























2019
Bella Union
Spotify | Deezer | Bandcamp

J'avais peur que la magie s'en aille, mais au réveil, elle était toujours là. Un album écouter presque en boucle  une grande partie de la nuit, perdue entre réflexions existentielle et routes de campagne normande, ce qui était le contexte parfait pour écouter ce disque.
Rien à redire, déjà, sur ces douze chansons. Douze diamants ciselés avec amour par deux amoureux de la musique, une véritable performance ou aucun remplissage ne fait mollir la qualité du disque. rien à enlever, à jeter. C'est le meilleur disque de musique Alternative/Folk/BritPop que j'ai écouté depuis des années, c'est la pensé que j'ai eu après plusieurs écoute en boucle.
Après un départ peu être un tout petit peu en deça du reste (mais la je chipotte comme un enculé), on termine quand même l'album avec l’enchaînement de quatre chanson le plus provocateur de frissons que j'ai entendu. C'est rien d'original, dans l'absolu, mais c'est utilisé avec brio et ingéniosité, c'est de la haute musique, et ça se permet d'allez toucher les nuages du doigt.
C'est assez rare, mais ce disque m'a donné envie immédiatement de presser la touche la touche play encore et encore, heures après heures. Je doit être fou, ou complètement fondu, mais encore ce matin, je n'ai pas envie d'écouter quoi que ce soit d'autre, juste de me laisser porter par la douceur de cet album, ces mélodies pincé sur une guitare folk, ces quelques notes de pianos et les deux voix de Steve Clarke et Rachel Goswell. Un duo anglais ( ça se sent) qui fait honneur à la musique, sans prétentions, sans précipitations, doucement, calmement. Avec amour quoi.

Posted in , , , , | Leave a comment

Blanck Mass - Animated Violence Mild

























2019
Sacred Bones Records
Spotify | Deezer | Bandcamp

On dira de cet album qu'il est peut être un poil plus hardcore que ses prédécesseurs, qu'il est plus orienté dans cette veine techno dérangeante, un peu bruitiste, un peu punk dans l'esprit mais aussi teinté d'IDM. Las de tout ces superlatif, vous écouterez donc  le dernier Blanck Mass qui se paye le luxe d'être de loin le meilleur du compositeur, l'écossais Benjamin John Power. Rythmique ultra, rapide, martelé comme sur des tambours de guerre, claviers puissant, mélodique et violents, chants syncopé à la limite de l'audible. Ici, tout est rapide, tout est fort, le volume est à fond et le bouton ne répond plus. C'est une charge violente contre le consumérisme qui détruit civilisation et planète, c'est tout un mode de vie qui est passé au hachoir à viande pour mieux en extraire l’insupportable.
A l'image de la pomme ensanglanté dans une main propre, d'une société d'apparence propre mais ultra violente dès qu'on qu'on gratte le vernis (haha), une société égoïste ou la survie passe par la mort, ou à minima la souffrance de l'autre, bref, un cauchemars de société mais une utopie du libéralisme dans toute sa splendeur.
Un autre niveau de lecture existe, plus simple, moins politisé, plus lumineux, qui reste toujours un peu en retrait, preuve qu'il reste quand même un peu d'espoir derrière la musique, malgré la rage qui transpire par tout les pores de ces huit pistes.
Désolé pour les autres, mais une fois de plus, Blanck Mass écrase la concurrence, à coup sur dans les meilleurs sortie de cette incroyable année 2019.


Posted in , , , , , , , | Leave a comment

Bedouine - Bird Songs of a Killjoy

























2019
Spacebomb Records LLC
Spotify | Deezer | Bandcamp

Peut être, sans doute même, une de mes grandes joies de l'été. Azniv Korkejian est une américaine d'origine syrienne qui possède une voix si chaleureuse malgré une pointe de tristesse. Dans son second album, accompagné d'une guitare folk, et de quelques arrangements jazzy, elle prête sa voix à cet incroyable enchaînement de  chansons qui sont autant de petits morceaux de soleil droit dans le cœur. Une tendresse incroyable, un souffle doux et chaud, et autres qualificatifs dithyrambiques ne sont pas de trop pour qualifié une musique qui porte en elle, de façon presque schizophrène, une légèreté qui porte l'âme et une solennité qui impose le respect. Çà s'écoute dans le recueillement, dans les bons comme les mauvais moments. Ce qui est certain c'est que cet album est déjà dans mes favoris de l'année. Merci.


Posted in , , , , , | Leave a comment

Russian Circles - Blood Year

























2019
Sargent House
Spotify | Deezer | Bandcamp

Disque à la facture classique mais pas sans interet, Blood Year est basé sur le schéma bien établit "introduction douce, monté en puissance et éclatement". Ce n'est surement pas une dénomination acadélique, pour peu qu'il y en ai une, mais c'est la mienne. C'est un disque fort qui reprend pour lui les codes du genre post rock pour mieux les arranger au prisme du métal. On y découvre rien de nouveau, et c'est peu âtre la seul chose que je regrette dans cet album. Les chansons sont  puissante, véhicules parfaitement l'émotion, mais leurs structures sont hyper classiques. Les musiciens sont bon, très bon même, et en cela, rien à redire, l'album fait preuve de technicité, mais presque jamais d'originalité. On se consolera avec les trois dernières chansons de l'album, qui relève le niveau en s'hasardant un peu hors des sentiers battus, pour le plaisir des oreilles, et aussi parce que Russian Circles est un super groupe et que je suis sur qu'ils vont quand même tout déchirer en live.

Posted in , , , , , , | Leave a comment

Mondkopf - Time We Left This World Today
























2019
Split Music
Spotify | Deezer | Bandcamp

Voilà, ça y est, décollage réussit, maintenant nous flottons dans l'espace. Et maintenant que nous y sommes, que faire ? Car on pourrait s'émerveiller devant l'univers si vaste, si plein de mystère et d'objets incroyables, ou bien pousser les moteurs pour explorer un peu ne serait ce que notre système solaire, qui nous échappe encore beaucoup.
La musique du dernier EP de Mondkopf m'inspire l'espace, me fait ressentir le vide et pour de bonnes raisons. J'ai été biberonné aux film de science fictions, ainsi qu'au jeux vidéos traitant de l'espace, j'ai été une éponge pour tout ce qui traite de l'exploration spatiale, et par conséquent j'ai écouter des centaines d'heures de musiques électronique concernant ce sujets, que ce soit dans les films, dans les jeux ou bien ailleurs. Evidemment, j'enfonce une porte ouverte en disant qu'il n'y a pas de sons dans l'espace. Mais comme le silence est pire que la mort, on à cherché à combler ce vide en y mettant ce qu'on imaginait être le mieux pour décrire, avec les  oreilles, ce que l'on croyait être le mieux représentatif. Pour moi cet EP s'inscrit dans cette veine. La musique y est profonde, lente, contemplative et légèrement anxiogène à certain moment. Elle n'est qu'une petite facette, très brillante certes, d'une vaste galaxie de genre et de d'artistes compositeurs qui se sont essayé  à mettre de la musique sur le silence. il n'en reste pas moins un très bon disque, d'un artistes que j'écoute depuis 2011 et qui ne m'a jamais déçu, sans cesse renouveler, pour sans cesse me faire rêver.

Posted in , , , , , , , | Leave a comment

Calexico / Iron & Wine - Years To Burn

























2019
City Slang / Sub Pop
Spotify | Deezer | Bandcamp

L'addition de ces trois talent ne pouvait aboutir qu'a un bon disque. Et on en serait convaincu à l'écoute de ce (trop court) album d'à peine une demi heure. Une demi heure pour huit titres, a pine le temps de se glisser dans cet univers folk fait de route poussiéreuse, au fond de l'Arizona. Des accents de frontières mexicaine pour une créature à trois têtes qui oscille constamment entre les trompettes de Calexico et la guitare de Samuel Beam, qui trouve son point de fusion dans le mariage parfait des trois voix. Une très belle réussite qui ne fait que renforcer l'admiration que j'ai pour ces deux groupes, dont je recommande d’ailleurs à chacun l'intégralité de la discographie, au plus vite. En tout cas ce matin je n'ai rien écouté de mieux.

Posted in , , , , , | Leave a comment

World War Two - The Dead End

























2019
Bandcamp

Bon, c'est presque un running gag ici, quand je  parle de bande son de la fin du monde, voilà qu'on me propose littéralement, dans l'acte, la bande son de la fin du monde, tel qu'elle à été pensé. L'intention est donc là, là ou avant, j'interprétais comme tel l'envie du ou des musiciens.
Ici, on alterne entre candeur et musique anxiogène étouffante, car il y aura du beau dans la mort, bien que ça soit une notion humaine.  La ou les étendu désolé sont propices à de longue plages de drones crissante, un détail qui traîne, jouet d'enfant, vêtements abandonné, corps momifié, est l'occasion d'une réflexion introspective. Et que ferions nous si (plutôt "quand") la civilisation va s’effondrer ? Quand ni le courant ni l'eau ne parviendront plus à nos appartements, nos maison, quand des sécheresses auront transformé le sud du pays en étendu poussiéreuse et stérile ? Quand il faudra se nourrir, survivre, quoi qu'il en coûte ? Quand l'espèce humaine s'éteindra, le dernier homme vivant aura quelques réflexion, à peu près les mêmes que moi à l'écoute de cet album beau mais dérangeant.

Posted in , , , , , | Leave a comment

Fibonacci - Forever

























2018
Illuminated Path
Bandcamp | Soundcloud

Un label que je découvre seulement ces derniers jours, avec un catalogue incroyable, d'une richesse insoupçonnée. J'ai jeté mon dévolu sur cet album de Fibonacci un peu par hasard, piochant au hasard, cliquant de titres en titres en explorateur fou d'un nouvel univers.
C'est ce mélange de genre qui m'a convaincu de poser mes valises un moment sur cet album. Que l'on passe aussi bien de l'ambient (voir dark ambient), à une bedroom pop cotonneuse, voir à de la vaporwave réssucité d'entre les morts, pour finir par d'anxiogène plage de drones, j'ai dit banco. Banco pour le mélange, pour ce coté fourre tout, qui, loin de déplaire, trouve sa place et se mélange parfaitement dans un ensemble cohérent, oui pour le coté OST de rêves lucide, pour la puissance évocatrice de la musique et pour le voyage, trop court, d'une demi heure hors du temps. Pour les amateur de musique  un peu expérimentale.



Posted in , , , , , | Leave a comment
The Black Box 2010 - 2023. Fourni par Blogger.

Search

Swedish Greys - a WordPress theme from Nordic Themepark. Converted by LiteThemes.com.