Archive for janvier 2020

Bloc Party - Silent Alarm Live

























2019
Bloc Party / Modular Records (physical)
Spotify | Deezer

Aussi bon qu'au premier jour. On l'a dit, on le lit, on le lira encore dans longtemps. Le premier album des anglais de Bloc Party est parmi l'un des meilleurs sortit durant la décennie 00's. En 2001, quand le rock semble de nouveau porté au nue par une poignée de groupe inspirant et inspiré, choisissant une nouvel approche et rejetant les canons habituel du genre. C'est le début d'une décennies de grand n'importe quoi qui verra naître et mourir une chiée de magazines plus ou moins spécialisé, que je m'empressait d'acheter parce que quand on à moins de vingt ans, on consomme la culture par les deux bout un peu n'importe comment.
Bloc Party et de manière plus générale, les années 2004/05 furent pour moi charnières. C'est à ce moment là que je cesse d'écouter ces groupes américains pop punk comme Sum 41, Good Charlotte ou Blink 182, pour ne  plus citer que les plus connus (je défendrais ces trois groupes jusqu’à ma mort). En 2004/05, j'attaque dans le désordre avec Les Strokes, Radiohead, Coldplay, Muse, Franz Ferdinand, Nine Inch Nails, Korn, System Of A Down ou Maximö Park. Je reste encore sur les sentiers balisés mais ces vraiment durant ces deux années que je me met à écouter d'autres choses.
Cet album c'est la concrétude d'une évolution musicale. Il reste à ce  jour l'un des plus affluent pour moi, que je ré écoute toujours chaque années, avec le même plaisir.
C'est que la transition est brutale pour moi. Rien dans la musique, dans la voix, ne m'avait été présenter aux oreilles avant eux dans ce genre. La batterie et la basse dans une osmose totale, qui marque rythmiquement  chaque piste de façon unique, en passant du Funk au Punk avec une aisance saisissante. Rien de feignant dans ce disque, la section rythmique colossale porte tout le reste à bout de bras. Les deux guitares semble prisent dans un dialogue permanent, avec ce son catchy, agressif, acide, aigu, presque garage à certains moment, en somme brut, sans artifices. Mais le meilleurs, et c'est encore le cas, reste la voix de Kele Okereke, chanteur hanté par une énergie incroyable, qui semble lutter en permanence pour empêcher la surcharge de son réacteur intérieur. Une énergie qu'il communique volontiers avec le public, dans un échange constant pour les gardé toujours sur l a corde raide. Rien n'a vieillit avec ce live, ces chansons sont comme un bon vin qui devient meilleur avec les années. Si un jour je fais le best of musical de ma vie, on y trouvera Silent Alarm en bonne position.



Pays/territoire : Royaume-Uni
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We Never Learned To Live - The Sleepwalk Transmissions

























2019
Holy Roar Records
Spotify | Deezer | Bandcamp

Et meilleur vœux pour 2020. Qu'elle soit aussi riche musicalement que celle qui s'achève.
Le groupe anglais qui sert de faire valoir pour mes vœux est assez classique dans l’imagerie comme dans la musique, le fond et la forme. Quelques éléments de post rock, d'agréables sourdines qui sont autant de parenthèses dans des morceaux brûlants d'énergie. Un chant hurlant comme l'écho d'un soulèvement populaire, et au bout du bout, l'impression que tout est vain , que rien n'a de sens, et que le désespoir colle comme du napalm à la peau et l'âme.
Un album qui joue avec les sentiments, qui ballade l'auditeur et qui vous laisse pensif, une fois terminé. Classique, certes, mais foutrement efficace et convaincant !


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