Year Of No Light - Consolamentum

 











2021
Pelagic Records
Spotify | Deezer | Bandcamp

Je lisais plusieurs chroniques de cet albums sur d'autres sites et blogs musicaux, francophone et anglais en me demandant : qu'est ce que je pourrais dire qui n'est pas l'air d'être une simple redite ? En quoi mon propos est il original, convaincant ? 
Et je connaissais déjà la réponse : en rien. Rien de ce que je ne pourrait écrire ne saurait vous donnez plus envie ou pas d'écouter les bordelais de YONL. 
Ce n'est pas grave. Il arrive que je me pose cette question, fréquemment même, mais j'ai fais la paix avec  moi même depuis longtemps. Ecrire c'est un acte solitaire, d'autant plus sur un blog  à faible audience comme celui ci. Mais moi cet article, je le relirais, et cet album, je le ré écouterais, dans un ans, dans deux. Et puis on peut avoir envie d'écrire aussi tout simplement pour le simple plaisir d'écrire, ce qui est mon cas de plus en plus. 
L'album est un long glissement de presque une heure, moins cinq minute. il est d'une lourdeur appréciable, avec une structure classique de métal sludge pour son squelette, mais pas seulement, bien sur. Il part sans cesse dans tout les sens, pesamment, bougeant sa pesante musique tantôt vers le shoegaze, tantôt vers le drone, dans un fourmillement dont le groupe nous avait déjà habitué sur ces précédents disques. Il serait inutile de préciser qu'il est bon, sinon je n'en parlerais pas. On l'écoute d'une traite entière et on le boira jusqu'à la lie jusqu'à l'indigestion. 

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