David est un jeune garçon de douze ans qui vie plutôt mal sa scolarité de collégien. Il déteste son professeur de musique, une caricature de nazie sosie d'Hitler. Sa vie est banal quand elle n'est pas carrément ennuyeuse. Alors qu'il écoute la radio en retrant des cours, il découvre avec stupeur les Béruriers Noir, qu'il ne connaissait pas, et il est encore plus étonné d'aimer ça. Dès lors il n’aura de cesse de découvrir le monde de la musique, aider par ses camarades de classes et un surveillant fans de suicide, en pleine période post-punk.
Cette BD raconte l'histoire d'un type ordinaire qui a une vie de merde, elle m'a beaucoup fais rire, on y traite aussi bien de musique , principalement, mais aussi de la jeunesse paumé qui ne sait pas quoi faire après son bac, des amis, de gueule de bois et de l'apparition du Cd avec la mort des cassettes audio. C'est drôle, touchant, ça porte un regard caustique sur la société, ça se lis et relis avec plaisir.
David Snug, J'aime pas la musique, édition Les enfants rouge 15 € dans les bonnes librairies
J'avais laissé Civil Civic en Juin et à leurs prestation énergique (le mot est faible) sur la petite scène du Rock dans tout ses Etats, à Evreux (27). Leur concert fut une bonne claque dans les esgourdes , et, thank god, ils jouèrent assez fort pour couvrir le concert de Gaetan Roussel sur la scène principale. Après avoir sortit une floppé d'EP dont l'énorme "Run Overdrive/Fuck Youth" , le Trio ( deux hommes, guitare et basse plus une beat box que les deux gars considèrent comme un membre à part entière du groupe, soit) a acquis une solide réputation live glané dans le sang et la sueur, sur les scènes anglaise et européenne. A tel point que "Rules" est entièrement auto financé par la vente en série limité des précédent E.P's , le groupe à ainsi pu récolter près de 7000 $ ( ils n'en voulaient que 5000 $). Bref, une bien belle histoire pour un groupe qui à su s'auto promouvoir par internet et qui n'a pas la grosse tête, en témoigne leurs shows délirants ou les deux (trois) compères s'amusent sur scène avec le publique, jet de bière et blagues potaches sur fond de math-rock volume à fonds, un bienfait pour la musique comme pour les oreilles.
Sur l'album, on retrouve trois titres présent sur leurs EP's, la très connu Less Unless , véritable défouloir, idéal pour un pogo entres amis, Run Overdrive arrive en seconde position dans la track list, toujours avec le même plaisir, avec son côté western des temps moderne version 3.0 est un vrai régal, toujours aussi frais à ré écouter, et Light On A Leash , petite perle qui rapelle les meilleurs composition des Cure. Ils se dégage beaucoup de choses à l'écoute de cet album, qui à lui seul pourrait constituer la BO d'un énième teenage movie dans un lycée américain sur la côte Ouest, avec le pacifique pour horizon. Entièrement instrumental, la galette laisse donc libre court à l'imagination des auditeurs. Ainsi "Airspray" chanson d'introduction de l'album me fait pensé à un titre idéal pour clôturer le film précédemment cité, avec son petit coté épique et légèrement mélancolique, c'est une sorte d'invitation au voyage tout en étant une chanson de chemin de retour (je me comprend). "Street Tap" devient une poursuite policière dans les rues de L.A, sous un soleil de plombs, le sourire aux lèvreset un cachet de lsd au fond de la gueule. Grey Nurse fait directement référence aux westerns hollywodiens, duel à OK Corral, genre, la scène de tension du film ou le héros regarde sa Némésis dans les yeux , la main droite sur le colt, une goutte de sueur dégoulinant de son visage mal rasé, cette chanson à un petit coté tragique mis en exergue par les orgues synthétique qui nappe la chanson. Sky Delay s'est transformé en longue ballade, un road trip dans un univers à la Mad Max, décapotable roulant à fond sur une vielle route défoncé sous le soleil, la radio à fond de balle tout comme le pied écrasant la pédale d’accélérateur.
It's Krill m'évoque une foi de plus les Cure , c'est une chanson qui démarre calmement , un appel à l'insouciance, à l'amusement rapide et immédiat, buvez de l'alcool, draguez, prenez de la drogue, faites l'amour nom de dieu ! La nuit, dans un train , les lumière de la ville qui défilent tandis que les wagons passent à toute vitesse dans la gare sans s'arrêter, des gens vue une demi seconde, que font ils ? qui sont ils ? J'ai le casque verrouiller sur mes oreilles, je laisse mes pensé vagabonder, j'écoute Mayfield , ballade calme, rytmes martelé en sourdine, guitare discrète et aérienne avec échos, ça sent la fin. Une fois de plus, je retrouve l'influence des Cure sur "Slack Year" dernière chanson de l'album, nappe de synthé languissante, guitare saturé en fond calé sur la basse, j'arrive à la fin du voyage, le début fut chaotique, rapide, bruyant, pour le retour, je prendrais le temps avec les six minutes de cette dernière chansons qui clôture en beauté un album de dix titre ou pas une seule chansons n'est à jeté. Civil Civic place la barre très très très haut avec cet album, tant et si bien qu'on se demande si ils pourront réitéré le même miracle sur leurs prochain opus. Quoi qu'il en soit, on oubliera pendant un moment ces considération pour se laisser emporter encore dans la navette spatial à destination de la planète "Rules", album excellent à tout point de vue auquel j'accorde un dix, un sourire gravé sur le visage tandis que je re-clique sur PLAY.
On crierais presque au génie, presque, à l'écoute de Keep You Close. Notons Ces orchestrations savamment arrangées, notons que chaque chansons est unique et ne ressemble en rien à la précédente. Notons que en neuf chansons et quarante trois minutes, Deus réconcilie les deux hémisphères du groupe, à savoir cette partie qui voulait faire de l’expérimentation musicale avec des chansons longues et tarabiscotées, et le second , résolument rock'n'roll, les lives promettent d'être assez explosif. Notons que depuis six ans maintenant, le line-up de Deus est stable, laissant un peu plus de marge à son leader Tom Barman pour composer sans avoir le soucie de trouver un exellent musicien dans la seconde.
Après presque vingt ans de carrière musicale, Deus va peut être réussir le pari d’asseoir définitivement sa réputation de grand groupe internationale, même si la concurrence est rude. Faites vous votre propre avis à l'écoute de ce grand disque
Si l'ont avaient pu être enthousiasmé par le premier single de BNN "Defiant Order", on le seras beaucoup moins par l'album du même nom. Exit le hip-hop, exit le turntablism du départ. C'était pourtant pas trop mal parti, l'ouverture avec "Jaded futur" s'enchaine bien avec "Defiant Order", c'est plutôt original comme son, ça passe bien , mais ça se corse par la suite. Une suite de boucles sans grand interet, une musicalité qui plonge sous la barre du zéro, même le très bon "Goin'in" ne parvient pas à sauver l’ensemble de l'album, qui demeure creux et sans grand intérêt. Je tient à dire que je ne fais partis de ces puristes qui regrettent le temps des platines et du missile "Abesses" , j'aime voir évoluer les groupe que j'aime, j'avais bien accroché les deux premiers, tant pis. BNN fait du clubbing, et dans ce rôle, ils seront plutôt bon, dommage de sacrifier la musique au profit d'un succès commercial qui seras au rendes vous, mais de nombreux fan risque d'être laissez sur le côté de la route. Grosse déception.
Une découverte nocturne, la nuit, la fatigue aidant, on se laisse plus facilement avoir par un disque, parce que vous apprendrez qu'on n'écoute pas un disque pareillement qu'a midi qu'a minuit. La nuit, c'est un peu plus magique que le jour, c'est comme ça, je ne cherche pas à comprendre, ça me convient. J'ai décider de zapper un peu le groupe pour changer et me concentrer sur la musique. TPJPB sera surement étiqueté Indie/Rock/Pop/Shoegaze , surement pas à tord. Au fil des cinq chanson, le groupe distille des mélodies assez addictive. C'est 100% anglais, dans la musique comme dans le chant, c'est teinté d’héroïsme et d'un soupçon de guitare saturé, de violons, et d'une touche d'inspiration Beatles. C'est assez original, à l'image de ma chanson préféré "Analog to Digital" et ses changements de rythmes savamment orchestrés. Le tout à coté rétro vraiment pas désagréable. En deux EP, le groupe à su créer sa petite marque, profitant de la vague indie/pop/folk du moment mais sans sonner comme l’insupportable Bon Iver.
Bon, tachons de nous asseoir et de parler calmement. Tachons de nous remettre de l'écoute du dernier missile Belge. TBBR, ça à toujours envoyé du steak, aussi loin qu'ils sont un groupe et que nous avons des oreilles pour entendre leurs composition. Dans l’article qui suit, je vais faire quelques comparaisons flatteuses, je vais encenser, je vais être gentil, puis méchant, puis de nouveau mielleux, mais jamais au grand jamais je ne serais négatif sur la dernière galette de TBBR, explications :
Primo : J'aime bien le basique, j'aime les guitares saturées qui ne s’embarrassent pas de claviers. A l'heure actuelle, malheureusement , on a tendance à entendre tout et n'importe quoi, beaucoup de groupes trempe le pain dans un électro-rock maussade et insipide, ou tout du moins, utilisent ils cet artifices pour rester dans le coup et continuer de vendre, y perdant leurs âmes. Tout le monde n'a pas le talent de David Bowie, n'en déplaise à certain. C'est en partit ce qui explique mon amour pour des groupes The Subways ou TBBR, parce qu'il est possible de faire, aujourd'hui, de très très très bonne chansons rock'n'roll sans artifices.
Deuzio : Moi, amateur de musique, je ne peut que me réjouir de la production de TBBR, un groupe qui à su redonner ses lettres de noblesses à un certain types de Blues/Rock gonflé aux hormones. Tantôt pêchu (My Perception, Mad House) tantôt calme et envolé (White Unicorns, 2 Young Boys), la musique de TBBR ressemble à un mix entre les Rollings Stones et Iggy Pop version 00's.
Pour résumé, la musique de Jan Paternoster et Dries Van Djick possède cette authenticité longuement recherché et jamais trouver dans les production actuelle. C'est brut, c'est du rock, c'est du blues et c'est original, c'est cool, c'est bien composé, c'est bien foutu, c'est couillus, ça sent la bière et la sueur, c'est définitivement COOL. J'annonce que le missile à bien impacter dans le cortex cérébral, et qu'il y à fait des dégats, il y à de forte chances pour que ce disques reste longtemps dans ma playlist et qu'il revienne y faire des tours de temps en temps, histoire de montré aux autres que non, le rock n'est pas mort, qu'il est en vie et qu'il les emmerdes bien profondément, d'you know what I mean ?
C'est dans le cadre de Tsugi Fédération (le magazine fête ses quatre ans d'existence) qu'a été créer Code Napoléon, un genre de All Star Band regroupant de grands noms de l'éléctro, à savoir Arnaud Rebotini, Turzi et Mathieu de Kill For total Peace (KFTP). Premier concert le 13 Octobre à la Gaité Lyrique à Paris.
Vektroid, aka Ramona, jeune américaine de 19 ans vivant à Washington, sort un troisième album quelques mois après Starcalc. Continuant dans la ligné de ces précédentes productions, Vektroid poursuit son exploration musical des sons vintages de l'époque pré-internet (80's/ début 90's). Cette passion assumée pour les sons vintages aurait pu en faire un simple clone de Com Truise et d'autres mais même pas. Avec Neo Cali , elle confirme son immense talent de compositrice et de musicienne sans jamais tomber dans la routine. Pas une chanson qui ressemble à une autre. Vektroid poursuit l'exploration d'un univers sonore unique, la bande son d'un western du futur psychédélique au dimension épique. ajoutons enfin que les chansons s'écoutent selon l'humeur, si vous êtes heureux ou triste, vous risquez de ne pas appréciez pareillement ces 10 pistes, mais vous les aimerez quand même !
Je me baladait comme tout les week end à la recherche d'un truc à me mettre sur l'oreille et puis j'ai oui dire que Korn sortait un nouvel album bientôt . Ha ... bon ... Korn, j'ai bien aimé les 6 premiers albums, vraiment, et détesté les deux derniers, le groupe semblait l'agonie après le départ de deux de ses membres, et là, je dirais qu'il est mort quand j'ai vu la vidéo qui tourne en ce moment, aussi marrante que pathétique :
Sans commentaire. D'après ce que j'en sais, Korn trempe sa guiche dans le courant musical du moment, le dubstep, pour tenter de se racheter une crédibilité musicale, sans succès. Ainsi, les featuring les plus impressionnant s'enchaine avec notamment le jeune américain Skrillex, parrain du Dubstep en personne qui produit trois titres, rien que ça. J'attend de voir la gueule de l'album mais je suis déjà à peu près sur qu'il seras aussi merdique que les deux précédents. La date de l’enterrement est le 15 Novembre. Moi, je vais me ré écouter le Best Of volume 1, histoire de pleurer un groupe qui à brillé pendant dix ans avant de disparaître. Comment se fait il que aucun groupes ne sache disparaître au fait de leurs gloire bordel ?
Rien n'est absolu.
A est A.
J'écris seul, je test des trucs.
Tout ce que je dis ne concerne que moi, il n'est question que de moi.
Ce que la musique fait au corps avant tout le reste. Cultiver notre joie.
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